Acteurs
:
Bruce Willis : Jack Mosley
Mos Def : Eddie Bunker
David Morse : Frank Nugent
Alfre Woodard
Cylk Cozart : Jimmy Mulvey
Tig Fong : Briggs
Danny Lima : le 2è tueur russe
Robert Racki : Jerry shue
Sasha Roiz : Kaller
Angela Seto : l'épouse chinoise
David Sparrow : un gardien de cellule
Beatriz Yuste : l'employée du métro
David Zayas : Officier Robert Torres
Nick Alachiotis : le 1er tueur russe
Brian Andersson : un enquêteur
Robert Bizik : un ouvrier du bâtiment
Shon Blotzer : les jurés #2
Heather Dawn : un juré
Joseph DeBona : un enquêteur
Albert Duic : un ambulancier
Eli Harris : un chauffeur de taxi
Kean : Ong
Michael F. Keenan : Fitzpatrick
Kameron
Louangxay : l'Officier du Com. Technique
Steve Nuke : l'agent NARC sous couverture
|
Directeur
Photo : Glen MacPherson
Musique
: Klaus Badelt
Décors
: Steve Shewchuk
Chef
décoration : Brandt
Gordon
Costumes
: Vicki Graef
Montage
: Steve Mirkovich
Effets Spéciaux
:
Jason Board : chef d'équipe atelier
Mike Kavanagh : premier assistant
Casting
: Robin D. Cook
Direction artistique
: Arvinder Grewal
Maquillage
: Patricia Regan : chef département maquillage
(New York)
Son
:
Zach Hunter : porteur câbles
Greg Chapman : mixeur
Benjamin Cheah : enregistreur effets sonores
Catherine Harper : bruiteur
Kim Maitland : enregistrement (New York)
T.J. O'Mara : mixeur (New York)
|
Scénario
: Richard Wenk
Producteur
:
Randall Emmett
Avi Lerner
Jim Van Wyck
Bruce Willis
John Thompson
Trevor Short
Arnold Rifkin
Production
:
Cheyenne Enterprises
Emmett/Furla Films
Equity Pictures Medienfonds GmbH & Co. KG II
Millennium Films
Nu Image
|
Producteur
executif :
Boaz
Davidson
Danny Dimbort
George
Furla
Manfred Heid
Gerd Koechlin
Hadeel
Reda
Trevor
Short
Andreas Thiesmayer
Josef Lautenschlaeger
Producteur
associé : Stephen
J. Eads
Co-Producteur
:
Derek
Hoffman
Brian
Read
Assistant
réalisation :
Jayson Merrill : second assistant
Tim Singh : second assistant
Jim Van Wyck : premier assistant
Karen Young : 3ème assistant
Matthew McLoota : stagiaire dga (New York)
Andrew Pritchard : 3ème assistant
|
Rencontre au sommet
16 blocs marque la rencontre de deux pointures du cinéma d'action
: le réalisateur Richard Donner, qui a dynamité le registre
du buddy movie avec la saga L'Arme fatale, et le comédien Bruce Willis,
incarnation de l'action hero par excellence qui s'est notamment illustrée
dans la référence Piège de cristal.
La motivation de Richard Donner
Richard Donner s'est rapidement enthousiasmé pour ce projet. Comme
il l'explique, "le sujet promettait de l'action mais aussi beaucoup
d'enjeux humains. L'action seule ne suffit pas, elle est démultipliée
lorsqu'elle sert une bonne histoire, et celle-ci en est une. L'idée
que cela se passe quasiment en temps réel me plaisait aussi. Le
spectateur est soudain impliqué comme jamais dans le compte à
rebours que vivent les protagonistes. Je suis toujours à la recherche
de sujets forts, d'angles de narration différents."
Loin de la caricature et des idées reçues
Bruce Willis explique les raisons qui l'ont amené à incarner
une fois de plus un flic casse-cou au cinéma : "Ce film m'intéressait
parce qu'il met en scène de vrais personnages dans une histoire
très bien menée. Il n'y a pas seulement beaucoup à
voir, il y a également énormément à ressentir
et à penser (...) Il n'y a ni héros ni monstre, chaque personnage
possède sa part de grandeur et ses zones d'ombre. Les personnages
échappent à la caricature et prennent même souvent
un malin plaisir à aller contre les idées reçues.
Les limites sont floues et seuls les actes révèlent la véritable
nature de chacun."
Un Bruce Willis très investi
Afin de maîtriser l'environnement professionnel de son personnage,
Bruce Willis a patrouillé plusieurs nuits avec des policiers de
Brooklyn aux côté de l'inspecteur Mike Keenan, membre de
la police de New York depuis 22 ans, qui a aussi servi de conseiller pour
toutes les questions de procédure.
Sur le plan physique, l'acteur s'est également beaucoup investi.
Au début du film, son teint pâle est le fruit d'un maquillage
qui souligne les symptômes de l'alcoolémie. Pour avoir le
regard humide et les yeux rouges, les maquilleurs ont utilisé des
vapeurs de menthol. Le comédien marchait par ailleurs avec une
pierre dans sa chaussure droite, ce qui le faisait réellement boiter.
Lieux de tournage
Le tournage de 16 blocs a débuté en avril 2005 à
Toronto. Après neuf semaines sur place, l'équipe est partie
à Manhattan pour deux semaines supplémentaires. Richard
Donner explique : "L'histoire, au-delà des moyens et de l'action,
impliquait quelques problèmes logistiques. Nous avons tourné
dans deux villes différentes, sur 55 jours, à des centaines
de kilomètres de distance, par tous les temps..."
Tourné dans l'ordre chronologique
Dans la mesure du possible, Richard Donner a réalisé le
film dans l'ordre chronologique. Pour le cinéaste, il fallait que
le spectateur puisse croire que tout se déroule sur deux heures
de temps sans aucun faux raccord. Afin de garantir une cohérence
optimale et pour permettre aux comédiens de maîtriser plus
facilement l'évolution de leurs personnages, le metteur en scène
a décidé de tourner dans la continuité. "Il
était ainsi plus simple de savoir où ils en étaient,
aussi bien sur le plan psychologique que dans l'action", conclut-il.
Pour la poursuite en bus
L'un des temps forts du film est une impressionnante poursuite en bus.
Elle a été tournée à Toronto sur douze jours.
Pour la mener à bien, la production a acheté et fait venir
cinq bus de New York, dont deux ont servi pour le tournage proprement
dit - un pour l'extérieur et l'autre pour les intérieurs,
les trois autres étant utilisés pour les prises spéciales
et les cascades.
L'un des bus a été coupé en deux pour pouvoir être
monté sur un camion et négocier ainsi le virage le plus
spectaculaire. La poursuite implique plus de 25 autres véhicules
et près de 50 cascadeurs.
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