Réalisateur : Francis Veber

 

Scénario : Francis Veber

 

Producteur :

- Alain Poiré

- Fideline films

 

Directeur photo : Alex Phillips Jr.

 

Musique : Vladimir Cosma

 

Acteurs :

- Gérard Depardieu

- Pierre Richard

- Michel Robin,

- André Valardy

 

Genre : Comédie

 

Année : 1981

 

Durée : 1 h 30

 

Origine : Français

 

Distribution : Gaumont

 

Remake : Pure Luck (1991)

 

 

 

Résumé :

 

Malchanceuse de nature, Marie Bens est en vacances au Mexique depuis quelques jours lorsqu'elle se fait enlever. Son père, P.D.-G. d'une grosse entreprise a engagé Campana, un grand spécialiste des disparitions; mais sans succès. Meyer, le psychologue de la maison, a une idée. Pour retrouver sa fille, Bens doit envoyer sur ses traces quelqu'un d'aussi malchanceux, une personne qui se heurtera aux mêmes obstacles. Cet homme existe : c'est François Perrin. Il travaille à la comptabilité. Malgré ses réticences, Campana accepte de repartir en Amérique du Sud, accompagné de Perrin. Dès le départ, les catastrophes commencent. Tout d'abord, ils ratent leur avion. Mais cette malchance n'est qu'apparente puisqu'elle les oblige à prendre un vol de correspondance qui les dépose dans un aéroport où Perrin, retenu à l'infirmerie pour s'être fracassé le nez, apprend qu'une jeune fille française a été victime du même incident quelques mois plus tôt. Du commissaire, Campana obtient la photo de l'homme qui accompagnait la jeune fille qui pourrait bien être Marie Bens. C'est à nouveau par hasard, qu'ils découvrent celui-ci dans une salle de jeu privée dans laquelle ils viennent récupérer une somme d'argent importante que Perrin s'est fait voler par une prostituée. De source sûre, les deux compères apprennent que la jeune fille aurait été embarquée dans un avion de tourisme qui aurait survolé la forêt vierge et dont on serait sans nouvelles. Perrin et Campana passent la forêt au peigne fin. Ils se retrouvent, dans l'hôpital d'une mission, dans la même chambre que Marie. Les deux malchanceux se reconnaissent, se prennent la main, se dirigent vers un ponton, tels deux somnambules. Le ponton s'écroule et ils partent à la dérive devant un Campana stupéfait.