Acteurs
:
Johnny Depp : Rochester
John Malkovich : le Roi
Charles II
Samantha Morton : Elizabeth Barry
Shane MacGowan : le barde du 17ème siècle
Rupert Friend : Billy Downs
Tom Hollander : George Etherege
Rosamund Pike : Elizabeth Malet
Johnny Vegas : Charles Sackville
Paul Ritter : Chiffinch
Stanley Townsend : Keown
Francesca Annis : la Comtesse
Richard Coyle : Alcock
Hugh Sachs : Ratcliffe
Tom Burke : Vaughan
Jack Davenport : Harris
Trudi Jackson : Rose
Claire Higgins : Molly Luscombe
Freddie Jones : Betterton
Robert Wilfort : Huysmans
Jake Curran : un serviteur de Sackville
Paul Chahidi : Barrillon
Morgan Walters : un soldat
T.P. McKenna : Black Rod
Susie Gossling Valerio : les danseurs et danseuses
Julia Hickman : les danseurs et danseuses
Cara Horgan : la troupe d'acteurs
Maimie McCoy : la troupe d'acteurs
Liam McKenna : la troupe d'acteurs
Habib Nasib Nader : la troupe d'acteurs
Laurence Spellman : la troupe d'acteurs
|
Directeur
Photo : Alexander Melman
Musique
: Michael Nyman
Décors
: Robert Wischhusen-Hayes
Chef
décoration : Ben
Van Os
Montage
: Jill Bilcock
Effets Spéciaux
:
Edward Smith : superviseur
Rob Tucker
Casting
:
Lucy Bevan
Mary Selway
Direction artistique
:
Patrick
Rolfe
Fleur Whitlock
Son
:
Ross Cockle : édition musicale (non crédité)
John Hayes : preneur de son
Roger Savage : mixeur post-synchro
Anthony Faust : mixeur adr
Chris Goodes : assistant mixeur réenregistrement
Craig Carter : monteur
Paul Schwartz : perchman
Ben Greaves : second perchman
Antony Gray : monteur
Brendan Donnison : casting voix
|
Scénario
: Stephen Jeffreys
Producteur
:
Russell Smith
Lianne Halfon
John Malkovich
Production
: Isle of Man Film Commission
Assistant
réalisation :
Max Keene : premier assistant
Matthew Baker : second assistant
Adam Coop : 3ème assistant
Paul Bennett : 3ème assistant
|
Producteur
executif :
Donald A. Starr
Peter Samuelson
Steve Christian
Daniel J.B. Taylor
Ralph Kamp
Louise Goodsill
Marc Samuelson
Chase Bailey
Colin Leventhal
Producteur
associé : Jessica
Parker
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The Libertine
retrace l'existence aussi véridique que tumultueuse du deuxième
comte de Rochester, ami et confident du roi Charles II d'Angleterre.
Au XVIIème siècle, cet homme d'exception, débauché
notoire et libre penseur, mena une vie entièrement dédiée
à la recherche du plaisir et de la vérité. Incapable
d'hypocrisie dans une époque où elle était un art,
il fut à la fois décrié, condamné mais également
admiré pour son avant-gardisme et son goût de la liberté.
Lorsque le comte rencontre Elizabeth Barry, une jeune actrice, il tombe
immédiatement sous son charme et parie avec ses amis qu'il parviendra
à en faire la coqueluche de Londres. L'amour va tout compliquer
et Rochester aura une destinée aussi sulfureuse que ses écrits,
aussi flamboyante et libre que ses pensées.
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Johnny Depp : figure
de la décadence
Dans Rochester, le dernier des libertins, Johnny Depp incarne le décadent
Comte de Rochester, figure originale du 17e siècle anglais, qui fut
à la fois philosophe et débauché, poète et provocateur.
L'adaptation d'une pièce
Rochester, le dernier des libertins est adapté de la pièce
de théâtre The Libertine, créée par Stephen
Jeffreys. Ce célèbre écrivain londonien, reconnu
pour l'éclectisme de son oeuvre, a reçu le London Critics
Circle Theatre Award dans la catégorie Meilleur Dramaturge. Le
long-métrage adapté de sa pièce lui donne l'occasion
de passer au grand écran puisqu'il officie comme scénariste
sur le film.
La décadence à l'écran
Rochester, le dernier des libertins s'inscrit dans la mouvance de films
qui ont tiré leur inspiration de la décadence des XVIIème
et XVIIIème siècles. Ainsi, parmi les oeuvres les plus célèbres
qui dépeignent cette époque aussi bien philosophe que débauchée,
on trouve : Les Liaisons dangereuses de Stephen Frears, Valmont de Milos
Forman, Sade de Benoît Jacquot ou encore Quills de Philip Kaufman.
Premiers pas ...
Rochester, le dernier des libertins marque les premiers pas de Laurence
Dunmore en tant que réalisateur.
John Malkovich : des planches à l'écran
Avant de jouer le rôle du Roi Charles II dans Rochester, le dernier
des libertins, John Malkovich et les comédiens de la Steppenwolf
Theatre Company avaient joué la pièce de Stephen Jeffreys
sur scène, à Londres.
Lieux de tournage
Dépeignant l'Angleterre du XVIIème siècle, le tournage
de Rochester, le dernier des libertins a eu lieu aux quatre coins du Royaume-Uni.
D'abord à Londres, puis dans le Warwickshire, le Comté du
Somerset, en Cornouaille, à L'île de Man et enfin au Pays
de Galles.
Réévalaution du budget
Le budget de 22 millions de dollars de Rochester, le dernier des libertins
a dû être revu à la baisse. Une modification du système
des taxes britanniques a contraint les producteurs Russell Smith et John
Malkovich à le diminuer de 30 %. Pour pallier cette baisse, le
tournage des scènes d'intérieur, initialement prévu
dans les studios de Bray près de Londres, a finalement eu lieu
sur l'lIe de Man, entre l'Angleterre et l'Irlande.
Retour à l'île de man
Rochester, le dernier des libertins, tourné en partie sur l'Ile
de Man, donne l'occasion à John Malkovich de revisiter cet ancien
royaume Viking. L'acteur américain y avait déjà foulé
le pied à l'occasion du tournage de Appelez-moi Kubrick.
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