Réussir ou mourir
Réalisateur : Jim Sheridan

Genre : Drame, biographie, action

Date : 22 Février 2006

Durée : 1 h 57

Origine : Américain

Distribution : United International Pictures (UIP)

Titre original : Get rich or die tryin'

 

Résumé | Note production | Acteurs | Scénario | Producteur | Site Officiel | Récompenses | Lieux | Budget

Acteurs :

50 Cent : Marcus (sous le nom Curtis '50 Cent' Jackson)
Terrence Dashon Howard : Bama
Joy Bryant : Charlene
Bill Duke : Levar
Adewale Akinnuoye-Agbaje : Majestic
Omar Benson Miller : Keryl
Viola Davis : Grand-père
Tig Fong : le co-détenu colombien
Benz Antoine : Ray Wilmore
Tory Kittles : Justice
Serena Reeder : Katrina
Ashley Walters : Antwan
Walter Alza : Raoul
Tommy Chang : le gérant du magasin coréen
Marcus Collins : le gars blanc de Jersey
Ethan James Duff : le gars du New Jersey
Arlene Duncan : le juge
Marc John Jefferies : Marcus plus jeune
Marcel Jones : l'accro au crack
Paulino Nunes : un détective
Pedro Miguel Arce : le garde colombien
Wes Williams : un agent de sécurité
Sullivan Walker : Grand-père
Mpho Koaho : Junebug
Russell Hornsby : Odell
Joseph Pierre : Oncle Deuce
Ryan Allen : Oncle Ray
Vanessa Madden : un parent de Marcus
Zainab Musa : un parent de Marcus
Brendan Jeffers : un parent de Marcus
Anastasia Hill : un parent de Marcus
Shawn Singleton : un parent de Marcus
Tchastoni Goodridge : un parent de Marcus
Leon : Slim
Rhyon Nicole Brown : Charlene plus jeune
Lenno Britos : Carlos Delgato
Arnold Pinnock : un enquêteur
Steve Cruz : Rodrigo
Frank Pellegrino : Détective Doyle
Bubba : Easy / un vendeur de coke
Jer O'Leary : Valdez

Directeur Photo :
Declan Quinn
David Perrault

Musique :
Maurice Seezer
Gavin Friday
Quincy Jones

Décors :

Steven Essam
Christina K. Tonkin : décorateur de plateau

Chef décoration : Mark Geraghty

Costumes : Francine Jamison-Tanchuck

Montage :
Roger Barton
Conrad Buff IV

Effets Spéciaux :

John MacGillivray : chef d'équipe
Rob Sanderson : directeur des effets spéciaux
Tim Barraball : effets physiques

Casting : Avy Kaufman

Direction artistique : Dennis Davenport

Maquillage :

Heidi Armstrong : artiste maquillage
Renee Chan : assistant coiffure
Sylvain Cournoyer : artiste maquillage
Persefone Karakosta : artiste maquillage

Son :

Christopher S. Aud : monteur
Allan Byer : mixeur
Bruce Carwardine : mixeur
Elliott Koretz : création et superviseur
Vic Radulich : monteur dialogues
Alfredo Viteri : perchman
Markus Wade : perchman
Pat Cassin : second perchman
Joe Dorn : superviseur synchro
Tim Gomillion : enregistrement
Elizabeth Kenton : monteur synchro
Susan Kurtz : montage dialogues
Paul Massey : mixeur post-synchro
Willard Overstreet : monteur bruitages
Dennis Rogers : enregistrement

Scénario :
Terence Winter
Producteur :
Dr. Dre
Jimmy Iovine
Chris Lighty

Heather Perry
Jim Sheridan
Paul Rosenberg

Production :
Paramount Pictures
MTV Films

Producteur executif :

Paul Rosenberg

Van Toffler

Wendy Japhet

Daniel Lupi

Gene Kirkwood

Arthur Lappin

Stuart Parr

Heather Parry

David Gale

Producteur associé : Renata Adamidov

Co-Producteur :

Assistant réalisation :
Joe Camp III : premier assistant
Patrick Hagarty : assistant réalisateur
Polly Ann Mattson : second assistant
Gary S. Rake : second assistant seconde équipe
Jonathan Starch : premier assistant seconde équipe (New York)
Nye Heron : réalisateur seconde équipe
Grant Lucibello : second assistant

Lieux de tournage :

Budget :

Site officiel : France : http://www.uipfrance.com/sites/reussiroumourir/

Récompenses :

 

| Note production | Acteurs | Scénario | Producteur | Site Officiel | Récompenses | Lieux | Budget

 Résumé :

Un rêve habite Marcus depuis toujours : devenir rappeur. Mais lorsque sa mère est assassinée, l'adolescent perd brutalement ses repères et plonge dans le crime. Devenu dealer par nécessité, il se voit rapidement entraîné dans une spirale infernale, avec pour seuls garde-fous sa grand-mère, sa petite amie Charlene et son loyal ami Bama. Sa vie dès lors se partage entre le crime et l'écriture, à laquelle il consacre la même énergie désespérée. Cet enfer durera encore plusieurs années, jusqu'à ce qu'un drame lui fasse frôler la mort et l'oblige à un choix radical...

 Note de la production

50 Cent, l’une des plus grandes stars du hip-hop
À propos de Curtis «50 Cent» Jackson
Les autres personnages
La musique

50 Cent, l’une des plus grandes stars du hip-hop

« Réussir ou mourir (Get Rich or Die Tryin') (2005) est un collage inspiré de ma vie», explique Curtis «50 Cent» Jackson. «Ce n’est pas exactement mon histoire, mais on y retrouve des incidents proches de ceux qui ont émaillé mon existence.»
50 Cent qui est aujourd’hui l’une des plus grandes stars du hip-hop, s’est imposé dès son premier album : «Get Rich or Die Tryin’», vendu à 900 000 exemplaires dès la première semaine et certifié six fois Platine. Avec «The Massacre» (2005), Jackson devint le premier artiste depuis les Beatles à inscrire simultanément quatre chansons au Top Ten. L’album, n° 1 du Billboard durant 4 semaines, s’est écoulé à ce jour à plus de 4 millions d’unités.
Jim Sheridan se passionne depuis longtemps pour le rap et la culture dont il émane. «J’ai trouvé que cette histoire, proche de la vie de 50 Cent, avait un énorme potentiel dramatique», explique le réalisateur cité six fois aux Oscars. «J’avais déjà visionné certaines de ses vidéos et trouvé qu’il avait une présence considérable. Une demi-heure après l’avoir rencontré, j’ai su que j’avais envie de tourner un film avec lui. 50 Cent est incroyablement doué, discipliné et concentré, mais c’est aussi un type très drôle, bourré de charme, avec qui on a plaisir à discuter. Il s’est pleinement investi dans le projet.»

Dès son accession au rang de superstar musicale, Jackson s’était vu proposer quantité de projets cinématographiques, mais aucun ne lui souriait : «Je n’attendais pas nécessairement le film qui ferait de moi une star de l’écran, mais un projet intéressant qui me permettrait de collaborer avec des gens de valeur. Je n’aurais pas pu trouver de meilleur réalisateur que Jim Sheridan pour guider mes premiers pas au cinéma. Jim est totalement complice de ses acteurs. J’ai toujours cherché à travailler avec les meilleurs :Eminem et Dr. Dre comme producteurs, et maintenant, Jim comme réalisateur. J’essaie de démarrer au top et d’y rester. Je mets toutes les chances de mon côté. Les dés sont pipés? D’accord, mais c’est comme ça que j’entends gagner.»

«Qui d’autre que Jim pouvait mieux exploiter les talents naturels d’un jeune acteur comme 50?», poursuit le producteur Jimmy Iovine, président d’Interscope Geffen A&M Records. «Les personnages de ses films ont toujours affronté d’énormes challenges : la maladie, la pauvreté, le racisme. À travers celui-ci, certaines interrogations nous sont lancées : pourquoi y a-t-il plus de mères célibataires dans la communauté afro-américaine que dans toutes les autres couches de la société américaine? Pourquoi le rap est-il ce qu’il est? Pourquoi le personnage de Marcus est-il contraint d’agir ainsi?»

«Jim a tout pigé», souligne le manager de 50 Cent, Chris Lighty. «Il comprend notre communauté. Le combat que nous menons à la Jamaïque, dans le Bronx ou le Queens, n’est pas très différent de celui qu’il a connu dans les bas-quartiers de Dublin. Sous des couleurs différentes, ce sont les mêmes galères, les mêmes violences, le même désespoir.»

Le projet Réussir ou mourir (Get Rich or Die Tryin') (2005) débuta lorsque Iovine et Paul Rosenberg de Shady Records prirent 50 Cent sous contrat. Producteurs de certains des artistes musicaux les plus populaires de notre temps ainsi que du film avec Eminem 8 MILE, Iovine et Rosenberg avaient immédiatement apprécié le charisme et le dynamisme de Jackson, et décidé de faire un film avec lui. En accord avec Chris Lighty, ils engagèrent comme scénariste Terence Winter, lauréat de deux Emmy Awards pour «Les Soprano».

«Ce choix ne doit évidemment rien au hasard, car les similitudes sont nombreuses entre l’univers des gangsters italiens et la culture «gangsta» urbaine», souligne Iovine.

Winter accompagna Jackson durant sa tournée Rock the Mic et s’entretint quotidiennement avec lui pendant des mois. Un récit âpre et dramatique émergea de ces rencontres – l’histoire d’un jeune noir qui tente de survivre dans un monde de violence et de désespoir.

Réussir ou mourir (Get Rich or Die Tryin') (2005) devant marquer les débuts de 50 Cent à Hollywood, les producteurs étaient décidés à travailler avec les meilleurs. C’est ainsi qu’il se tournèrent vers Jim Sheridan, que son ami Bono avait présenté quelque temps auparavant à Jimmy Iovine.

Le réalisateur de MY LEFT FOOT et THE BOXER fut immédiatement sensible à la thématique de Réussir ou mourir (Get Rich or Die Tryin') (2005) : «Les drames familiaux m’ont toujours intéressé, et j’ai trouvé fascinante cette quête du père. J’ai pensé que cela constituait un excellent point de départ.»

«Le titre «Réussir ou mourir» dit tout», souligne Lighty. «Il s’agit d’exceller, de s’arracher à son quartier d’origine par tous les moyens, sans y laisser sa peau ni finir en prison. La propos s’appliquerait aussi bien à… un agent de change de Wall Street. Chaque Américain rêve de s’acheter une belle voiture et de faire fortune. C’est simplement la version 50 Cent que nous racontons ici.»

À propos de Curtis «50 Cent» Jackson

Né dans le Queens, élevé par sa mère, Curtis n’attendit pas «l’âge de raison» pour apprendre à se débrouiller. Sa mère étant tombée dans le piège de la drogue, il se fit dealer, faute de mieux, et connut une ascension rapide dans son quartier, jusqu’à devenir un caïd local du deal. Résultat : un lourd casier judiciaire, une cascade de condamnations, mais aussi de longues heures à peaufiner son «flow» avec Jam Master Jay. Mais la rue lui collait à la peau : un jour, il encaisse 9 balles et frôle la mort. S’ensuivent plusieurs mois de convalescence, une guérison miracle avec l’aide de Sha Money XL. Et là commence une autre légende : la série de mix-tapes que Jackson sort avec G-Unit le fait connaître, sa réputation grandit de mois en mois, et en 2002, Eminem lui signe un contrat de 1 million de dollars…
Lorsqu’il plongea dans le trafic de drogue après la mort de sa mère, Jackson vivait chez ses grands-parents. «Ils firent tout pour me créer un environnement propice, mais je ne m’y sentais pas à ma place. Je me suis donc tourné vers ceux qui semblaient avoir réussi. Ces types, que ma mère fréquentait, se sont occupés de moi, m’ont apporté ce dont j’avais besoin. C’est là que tout a commencé. Puis, j’ai eu un fils, et j’ai dû pourvoir à ses besoins. Il n’était plus question d’aller en prison. Je me suis orienté vers la musique.»
Jim Sheridan :
«50 Cent représente un phénomène nouveau, fondamental, au sein de la culture noire. Jadis, il y avait deux voies pour s’affirmer : celle de Martin Luther King et celle de Malcolm X. Toutes deux se sont refermées à la fin des années soixante, et la culture afro-américaine a échoué dans une impasse avant de trouver à s’exprimer dans la langue la plus inattendue : la musique commerciale.»
Chris Lighty :
«Celle-ci a permis aux gosses de se comprendre à travers toute l’Amérique et de disposer d’un langage commun. C’était une voie d’accès sécurisée aux quartiers en déshérence. Elle permettait aux minorités de s’exprimer avec leurs propres moyens.»
Et Jackson d’ajouter : «Les gens achètent mes disques pour la même raison qu’ils achètent un journal. Ils savent qu’elle n’est pas 100% géniale, mais elle leur parle de ce qui se passe actuellement, et elle leur dit les choses comme elles sont.»

Les autres personnages

Le casting de Réussir ou mourir (Get Rich or Die Tryin') (2005) rassemble une série de vétérans et de stars montantes, dont Terrence Howard (que Sheridan engagea à la suite de HUSTLE & FLOW), Joy Bryant, Bill Duke, Adewale Akinnuoye-Agbaje, Omar Benson Miller, Tory Kettles, Viola Davis, Marc John Jefferies et Ashley Walters. Le film fut pour tous une expérience intense que Sheridan justifia par «la recherche d’un climat de confiance et de complicité, d’ordre quasi familial».
Joy Bryant interprète Charlene, l’amie d’enfance de Marcus qui revient en ville après avoir été exilée en banlieue par ses parents. «Ce n’est pas une fille qui fait la fête tous les soirs, mais elle sait ce qui se passe dans son ancien quartier, sans porter de jugement pour autant», confie l’actrice. «Charlene et Marcus sont liés par leur amour commun du hip-hop, et lorsqu’ils se retrouvent dix ans plus tard, ils ne tardent pas à s’enflammer l’un pour l’autre.
Jim fut ma raison majeure pour tourner dans ce film. Il a cette faculté extraordinaire de rendre authentique le moindre détail d’une scène, de susciter l’émotion sans tomber dans l’artifice ou le mélo.»

Terrence Howard, qui qualifie Sheridan de «pur génie», bondit sur l’occasion qui lui était offerte de jouer sous sa direction le rôle de Bama, l’ami, manager et protecteur de Marcus.
Stimulé par l’ambiance du plateau, Howard prit des risques inédits : «Je n’avais jamais enlevé plus que ma chemise au cinéma. Cette fois, lorsque nous sommes arrivés à la scène de la douche, j’ai dit «Allez, on la joue à poil!». J’ai ôté mon pantalon, et 50 a lancé à Jim : «Vite, avant qu’il ne change d’avis!»
«Bama est un homme seul. Il n’a pas d’autre famille que Marcus, et c’est pour cela qu’ils se retrouvent ensemble, comme deux âmes sœurs du même sexe.»
«J’ai été ravi de pouvoir travailler avec Jim. J’avais l’impression d’être face à un magicien. Cela a été une expérience gratifiante et éclairante.»
«Il a le chic pour aller au cœur d’une relation et en capter l’essence», complète Adewale Akinnuoye-Agbaje, qui interprète le dealer Majestic, mentor de Marcus. «Jim est un artiste, et 50 Cent un entrepreneur de grande envergure. Tous deux sont des battants. Leur ambition commune les rapproche et leur donne une force incomparable.»

Pour devenir une star de l’écran, Jackson dut revivre et rejouer certains des événements les plus traumatisants de sa vie : la mort de sa mère, les épreuves, les violences et les dangers d’une carrière de dealer, l’attaque qui le laissa pour mort devant le domicile de ses grands-parents.

Sheridan fut impressionné par le détachement quasi professionnel dont le comédien novice fit preuve dans de telles scènes : «J’ai trouvé en lui quelqu’un d’exceptionnel, et je me demande si ce tournage n’a pas eu pour lui des vertus thérapeutiques. En fait, le plus difficile fut de l’amener à pleurer devant les caméras. Car, à l’écran, 50 Cent est un dur des plus convaincant, mais il est aussi crédible lorsqu’il se met à nu et livre au regard d’autrui les souffrances endurées dans sa jeunesse.»
«Cette scène m’a demandé un gros effort», reconnaît l’acteur, «car cela faisait très longtemps que je n’avais pas pleuré. Dans mon quartier, c’était un signe de faiblesse qui pouvait vous attirer toutes sortes d’ennuis, de sorte que j’ai appris à toujours refouler ma peine. Je n’ai finalement réussi à pleurer qu’en pensant à ce qui m’arriverait en cas d’échec. C’est l’éventualité que je redoute le plus, c’est pour la conjurer que je travaille aussi dur.»
Et Sheridan de répliquer : «Le danger, pour 50 Cent, c’est de travailler trop dur. Il n’arrête jamais, on dirait une machine!»

Le chef décorateur Mark Geraghty, chargé de recréer l’univers du Bronx dans les années 70, bénéficia en premier lieu de l’apport de Jim Sheridan :
«Jim est un conteur-né. L’histoire lui importe plus que tout. Il est capable de vous entraîner dans son univers, de vous en faire ressentir les émotions. Une fois que vous avez saisi l’histoire et la vision que Jim s’en fait, vous entrez de plain-pied dans ce monde, l’inspiration vous vient, et il ne vous reste plus qu’à prendre un crayon et une feuille de papier.»
Geraghty se livra à des recherches approfondies, en visionnant des films de l’époque et des documentaires, en se rendant sur Internet et en consultant des livres. «Après cela, nous avons créé le monde qui convenait à notre film, un monde très librement inspiré du South Bronx, dont il s’agissait surtout de faire ressortir la misère, la rudesse et le caractère criminogène. Jadis, ce monde ne fut sans doute par dépourvu de beauté, mais il s’est progressivement dégradé pour avoir été laissé à l’abandon, comme ceux qui l’habitent.»

Réussir ou mourir (Get Rich or Die Tryin') (2005) a été tourné en extérieurs naturels dans le Bronx, et ses intérieurs filmés en studio à Toronto.

La musique

« Réussir ou mourir (Get Rich or Die Tryin') (2005) c’est, d’abord et avant tout, un film. La musique vient en second, elle n’interrompt pas l’action à la manière d’un clip, elle la soutient», explique Jackson.
Entre les scènes, 50 Cent travaillait dans son studio d’enregistrement mobile : «J’y avais tout le nécessaire, et même plus qu’à la maison. Du coup, j’y passais plus de temps qu’à l’hôtel! C’est ainsi que j’ai écrit les morceaux, au fil du tournage, en m’inspirant du personnage de Marcus, qui est beaucoup plus vulnérable que moi. Ces compositions se démarquent de tout ce que j’ai écrit par ailleurs, car elles se veulent un complément aux scènes – et non un commentaire ou une préfiguration des événements à venir.»
Jim Sheridan :
« Réussir ou mourir (Get Rich or Die Tryin') (2005) décrit l’évolution d’un jeune qui croyait trouver sa voie dans le «bizness» et s’est découvert dans le rap. La première impression que vous en retirez, c’est que 50 est un authentique survivant. Mais le fait d’avoir survécu l’a rendu capable d’aborder sa vie comme un jeu, de s’amuser, de goûter pleinement chaque moment de son existence.»
Et Jimmy Iovine de conclure : «Même ceux qui ne sont pas fans de hip-hop devraient voir ce film, parce qu’il parle d’une culture, et exalte l’énergie vitale d’un gosse, d’un homme, d’une communauté et de toute une nation.»