Réalisateur :

- Didier Bourdon

- Bernard Campan

 

Scénario :

- Michel Lengliney

- Bernard Campan

- Didier Bourdon

        

Producteurs :

- Claude Berri

- Renn Productions

- Prod Paul et Alexandre Lederman

 

Directeur photo : Alain Choquart

 

Musique :

- Olivier Bernard

- Didier Bourdon

 

Acteurs :

- Didier Bourdon

- Bernard Campan    

- Pascal Légitimus

- Antoine Du Merle

- Claude Berri

 

Genre : Comédie

 

Année : 1995

 

Durée : 1 h 40

 

Origine : Français

 

Distribution : AMLF

 

 

Résumé :

 

Les trois frères, Didier, Bernard et Pascal Latour ne se connaissaient pas. C’est la mort de leur mère en Amérique qui les réunit, autour du notaire : trois millions d’héritage à se partager. La fête ! Seulement voilà, lors du deuxième rendez-vous, le délai légal est écoulé et l’argent ira au profit d’un orphelinat du Texas ! Adieu rêves et illusions ! Didier se libère de la famille Rougemont, dont il ne comptait épouser la fille que par intérêt, et se retrouve à la rue comme Bernard, déjà SDF. Éméchés par les adjuvants absorbés tout au long d’une soirée en boîte, ils se rendent chez Pascal, jeune cadre dynamique obligé ce soir-là de recevoir son patron Steven et sa clique, pour discuter de son association dans l’affaire, puisqu’il ne peut faire autrement que d’y investir son million de francs… Et Pascal n’ose pas démentir. Ses frères font fuir les importuns. Pascal est bien entendu renvoyé. Et les deux autres s’incrustent. Pas seuls. Avec Michael, six ans, fils d’une vieille et courte liaison de Didier, Christine Rossignol. Et voilà que le gamin a sur la fesse droite la même tache de vin que les trois «tontons»… Malgré tout, Didier est ravi d’assumer cette paternité, en attendant le retour de la maman, hôtesse de l’air. Quiproquo : celle-ci croit à un enlèvement. Les trois frères doivent fuir avec Michael, déguisé en petite fille. Une jeune doctoresse de campagne, Marie, les tire d’affaire et ramène l’enfant à sa mère. Lors du procès, Christine retire sa plainte, et Michael montre sa fesse droite… Les frères Latour ne seront condamnés qu’à une peine d’utilité publique pour avoir agressé un huissier…