Acteurs
:
Lucas Black : Sean Boswell
Lil' Bow Wow : Twinkie
Nathalie Kelley : Neela
Brian Tee : Drift King
Sung Kang : Han
Leonardo Nam : Morimoto
Brian Goodman : Lieutenant Boswell
Sonny Chiba : Oncle Kamata
Jimmy Lin : Jimmy
Nikki Griffin : Cindy
Lynda Boyd : Mme Boswell
Zachery Ty Bryan : Clay
Jason J. Tobin : Earl
Keiko Kitagawa : Reiko
Amber Stevens : une pom-pom girl
David V. Thomas : un pote
Caroline De Souza : le top-modèle brésilien
Joey Crumpton : un Officier
Daniel Booko : un pote
Stuart W. Yee : un Yakuza
Mari Jaramillo : une jolie fille en Skyline
Koji Kataoka : Pinkie
Konishiki : Paw Man
Tak Kubota : un Yakuza
Vincent Laresca : l'assistante sociale
Yoko Maki : la femme de l'appartement
Aiko Tanaka : la 2ème cowgirl sur la ligne de départ
Ashika Gogna : une pom-pom girl
Danny Ray McDonald II : les tyrans du magasin automobile
Trula M. Marcus : le professeur de math américain
Damien Marzette : le gardien de sécurité de l'école
Satoshi Tsumabuki : le gars extrêmement bien
Kazuki Namioka : Tea Hair
Verena Mei : une jolie fille en Skyline
Alden Villaverde : Alden
Shôko Nakagawa : une fille à cache-cache
Christian Salazar : le gamin espagnol potelé
Rie Shibata : le prof de math
Silvia Suvadova : le top-modèle russe
Keiichi Tsuchiya : un vieux pêcheur
Kazutoshi Wadakura : un vieux pêcheur
Brandon Brendel : un pote
Wendy Watanabe : une amie de Neela
Kaila Yu : une cowgirl sur la ligne de départ
Kevin Caira : les tyrans du magasin automobile
Hiroshi Hatayama : Tea Hair
Toshi Hayama : Toshi au garage sous-terrain
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Directeur
Photo : Stephen F. Windon
Musique
:
Brian Tyler
DJ Shadow : chanson 'Six Days {Remix}'
Décors
: Douglas A. Mowat
Chef
décoration : Ida
Random
Costumes
: Sanja Milkovic Hays
Montage
:
Kelly Matsumoto
Dallas Puett
Fred Raskin
Effets Spéciaux
:
James Bomalick : technicien
William H. Schirmer : superviseur
Matt Sweeney : directeur des effets spéciaux
Casting
:
Sarah Finn
Randi Hiller
Direction artistique
: Tom Reta
Maquillage
:
John Blake : chef département maquillage
Barney Burman : maquilleur effets spéciaux (Proteus Make-up
FX)
Martha Callender : artiste maquillage
Nanci Cascio : chef département coiffure équipe
action (Shangri-La Race)
Roxy D'Alonzo : artiste maquillage
Linda D. Flowers : chef département coiffure
Silvi Labrador : artiste maquillage
Timothy A. Miguel : artiste maquillage
Tijen Osman : chef département coiffure seconde équipe
Yesim 'Shimmy' Osman : styliste coiffure
Son
:
Paul Aulicino : monteur effets son
Peter Brown : supervision montage sonore
Kevin Cerchiai : perchman
Peter J. Devlin : mixeur production
George Flores : sons supplémentaires
Joel Iwataki : mixeur arrangements musique
Doc Kane : mixeur synchro
Andy Koyama : mixeur post-synchro
Gary Krause : monteur musique
Bill Meadows : enregistrement
George Pereyra : enregistreur effets sonores
Michael Piotrowski : second perchman
Philip Rogers : enregistrement synchro
Bruce Stambler : supervision montage sonore
John C. Stuver : monteur dialogues
Greg ten Bosch : superviseur bruitages
Jeffrey Wilhoit : bruiteur
|
Scénario
:
Chris Morgan
Alfredo Botello
Kario Salem
Producteur
: Neal H. Moritz
Production
:
Universal Pictures
Original Films
|
Producteur
executif :
Clayton
Townsend
Ryan Kavanaugh
Producteur
associé :
Co-Producteur
: Amanda Cohen
Assistant
réalisation :
Terry Leonard : réalisateur seconde équipe
Jon Mallard : premier assistant seconde équipe
Gary Marcus : premier assistant
|
Lieux
de tournage :
Los
Angeles, Californie, USA.
Tokyo, Japon.
Victorville, Californie, USA.
Budget
:
Box
Office France :
|
Site
officiel : http://www.uipfrance.com/sites/fastfurious3/
Récompenses
:
|
Tourner un nouveau volet
Tourner un troisième volet à la sage Fast & Furious demandait
de réactualiser certains éléments pour éviter
la répétition. Ainsi Fast and Furious : Tokyo Drift permettait
d'explorer de nouveaux horizons et également d'introduire un sport
fascinant : le drifting, comme l'en témoigne Neal Moritz : "Nous
n'aurions pas fait "Fast and Furious : Tokyo Drift" sans une trame
solide et originale. Un jour, notre équipe en est venue à
discuter d'un nouveau style de course, né à Tokyo, qu'on appelle
le "drifting". Les films clandestins tournés durant ces
courses m'ont captivé. (...) J'ai pensé que cela méritait
un film. Le résultat final m'a comblé."
Le phénomène du "drifting"
au Japon
Le Drifting, pratique dangereuse de la course automobile est un sport
très réputé au Japon. Le réalisateur Justin
Lin revient sur ce phénomène au pays du soleil levant :
" Je ne connaissais pas intimement les rites du "drift"
lorsque j'ai attaqué ce projet. J'ai découvert qu'il était
l'invention de bandes de jeunes d'origine populaire, venants des régions
montagneuses du Japon où les routes sont extrêmement sinueuses.
Le sport consistait tout simplement à tenter de les descendre le
plus vite possible. Plus tard, le phénomène s'est étendu
aux rues de Tokyo. Visuellement, cela donne un spectacle fascinant."
Un film d'action réaliste
Si les scènes de cascades sont impressionnantes et spectaculaires,
il fallait toutefois garder une ligne de conduite : le réalisme
avant tout. Le producteur Neal Moritz revient sur cet élément
clé : "Nous avons réuni la meilleure des équipes
techniques. Les responsables des effets visuels sont les mêmes que
sur les deux films précédents. Ils connaissent les règles
du jeu : rester dans les limites du vraisemblable, ne pas faire accomplir
aux voitures des exploits dont elles seraient incapables dans la réalité.
L'équipe a fait un effort remarquable en ce sens."
Un tuning pointu
L'équipe du tournage a dû customiser elle-même les
voitures afin qu'elles puissent atteindre les limites de leur capacité
technique. Un tuning pointu a alors été employé sur
les voitures du film. Une équipe de cinquante mécaniciens
ont été présents sur les plateaux de tournage afin
d'effectuer les éventuelles interventions et réparations
nécesaires.
L'entraînement des acteurs
Au vu des nombreuses cascades du film, les acteurs ont dû s'imprégner
de la culture drift et connaître les manoeuvres exactes pour pouvoir
effectuer les commandes correctement. Le réalisateur Justin Lin
a donc engagé un conseiller technique, fan du drifting pour qu'il
donne des cours de suite aux acteurs. De la même façon, les
acteurs ont reçu des cours de japonais et d'argot local afin de
mieux intégrer la culture véhiculée par le film.
L'acteur Lucas Black évoque ces séances d'entraînement
"Lorsqu'ils m'ont montré la manoeuvre pour la première
fois, c'était vraiment très impressionnant. J'étais
emballé. Par la suite, j'ai découvert qu'il était
plus confortable d'être au volant qu'à la proverbiale "place
du mort" (...).
Le "casting" des voitures
Les voitures sont considérées comme des acteurs à
part entière dans Fast and Furious : Tokyo Drift. Un casting de
voitures a dû être organisé avec d'autant plus de sérieux
qu'il fallait être certain du modèle employé afin
d'effectuer les éventuels remplacements en cas de casse (en effet,
pour les besoins du tournage, l'équipe a sacrifié un nombre
considérable de voitures : plus de 25 ont été découpées,
et environ 80 voitures ont été détruites). Ainsi
sur 250 voitures présentées, quelques-unes furent retenues
: la Mistubishi Evolution 9, la Nissan Fairlady 35OZ, la Mazda RX-7, la
Mazda RX-8, la Mustang 69, la Dodge Viper 05 et enfin la Chevrolet Monte
Carlo 71.
Un champion en tant que conseiller technique
Si les scènes de drifting sont si impressionnantes et réalistes
dans le film, c'est parce que l'équipe du film a engagé
le champion Keiichi Tsuchiya en tant que conseiller technique. Il a en
effet été le précurseur du style en lançant
la mode du drifting au Japon il y a près de quinze ans. Il a ensuite
enchaîné victoires sur victoires et s'est même vu décerner
la fameuse couronne Drift King, tant convoitée par les coureurs
automobiles.
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