FAST & FURIOS : TOKYO DRIFT
Réalisateur : Justin Lin

Genre : Action, Policier

Date : 19 Juillet 2006

Durée : 1 h 44

Origine : Américain

Titre Original : The Fast and the Furious : Tokyo Drift

Distribution : United International Pictures (UIP)

D'après ses personnages :

 

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2 Fast 2 Furious

Résumé | Note production | Acteurs | Scénario | Producteur | Site Officiel | Récompenses | Lieux | Budget

Acteurs :

Lucas Black : Sean Boswell
Lil' Bow Wow : Twinkie
Nathalie Kelley : Neela
Brian Tee : Drift King
Sung Kang : Han
Leonardo Nam : Morimoto
Brian Goodman : Lieutenant Boswell
Sonny Chiba : Oncle Kamata
Jimmy Lin : Jimmy
Nikki Griffin : Cindy
Lynda Boyd : Mme Boswell
Zachery Ty Bryan : Clay
Jason J. Tobin : Earl
Keiko Kitagawa : Reiko
Amber Stevens : une pom-pom girl
David V. Thomas : un pote
Caroline De Souza : le top-modèle brésilien
Joey Crumpton : un Officier
Daniel Booko : un pote
Stuart W. Yee : un Yakuza
Mari Jaramillo : une jolie fille en Skyline
Koji Kataoka : Pinkie
Konishiki : Paw Man
Tak Kubota : un Yakuza
Vincent Laresca : l'assistante sociale
Yoko Maki : la femme de l'appartement
Aiko Tanaka : la 2ème cowgirl sur la ligne de départ
Ashika Gogna : une pom-pom girl
Danny Ray McDonald II : les tyrans du magasin automobile
Trula M. Marcus : le professeur de math américain
Damien Marzette : le gardien de sécurité de l'école
Satoshi Tsumabuki : le gars extrêmement bien
Kazuki Namioka : Tea Hair
Verena Mei : une jolie fille en Skyline
Alden Villaverde : Alden
Shôko Nakagawa : une fille à cache-cache
Christian Salazar : le gamin espagnol potelé
Rie Shibata : le prof de math
Silvia Suvadova : le top-modèle russe
Keiichi Tsuchiya : un vieux pêcheur
Kazutoshi Wadakura : un vieux pêcheur
Brandon Brendel : un pote
Wendy Watanabe : une amie de Neela
Kaila Yu : une cowgirl sur la ligne de départ
Kevin Caira : les tyrans du magasin automobile
Hiroshi Hatayama : Tea Hair
Toshi Hayama : Toshi au garage sous-terrain

Directeur Photo : Stephen F. Windon

Musique :

Brian Tyler
DJ Shadow : chanson 'Six Days {Remix}'

Décors : Douglas A. Mowat

Chef décoration : Ida Random

Costumes : Sanja Milkovic Hays

Montage :

Kelly Matsumoto
Dallas Puett
Fred Raskin

Effets Spéciaux :

James Bomalick : technicien
William H. Schirmer : superviseur
Matt Sweeney : directeur des effets spéciaux

Casting :

Sarah Finn
Randi Hiller

Direction artistique : Tom Reta

Maquillage :

John Blake : chef département maquillage
Barney Burman : maquilleur effets spéciaux (Proteus Make-up FX)
Martha Callender : artiste maquillage
Nanci Cascio : chef département coiffure équipe action (Shangri-La Race)
Roxy D'Alonzo : artiste maquillage
Linda D. Flowers : chef département coiffure
Silvi Labrador : artiste maquillage
Timothy A. Miguel : artiste maquillage
Tijen Osman : chef département coiffure seconde équipe
Yesim 'Shimmy' Osman : styliste coiffure

Son :

Paul Aulicino : monteur effets son
Peter Brown : supervision montage sonore
Kevin Cerchiai : perchman
Peter J. Devlin : mixeur production
George Flores : sons supplémentaires
Joel Iwataki : mixeur arrangements musique
Doc Kane : mixeur synchro
Andy Koyama : mixeur post-synchro
Gary Krause : monteur musique
Bill Meadows : enregistrement
George Pereyra : enregistreur effets sonores
Michael Piotrowski : second perchman
Philip Rogers : enregistrement synchro
Bruce Stambler : supervision montage sonore
John C. Stuver : monteur dialogues
Greg ten Bosch : superviseur bruitages
Jeffrey Wilhoit : bruiteur

Scénario :
Chris Morgan
Alfredo Botello
Kario Salem

Producteur : Neal H. Moritz

Production :
Universal Pictures
Original Films

Producteur executif :

Clayton Townsend

Ryan Kavanaugh

Producteur associé :

Co-Producteur : Amanda Cohen

Assistant réalisation :
Terry Leonard : réalisateur seconde équipe
Jon Mallard : premier assistant seconde équipe
Gary Marcus : premier assistant

Lieux de tournage :

Los Angeles, Californie, USA.
Tokyo, Japon.
Victorville, Californie, USA.

Budget :

Box Office France :

Site officiel : http://www.uipfrance.com/sites/fastfurious3/

Récompenses :

 

| Note production | Acteurs | Scénario | Producteur | Site Officiel | Récompenses | Lieux | Budget

 Résumé :

Shaun Boswell, un adolescent solitaire, ne se passionne que pour une seule chose : les courses automobiles illégales. Après avoir commis un délit qui pourrait lui valoir une peine de prison, il est envoyé au Japon chez son oncle. C'est à cette occasion qu'il fréquente le milieu des street-racers de Tokyo et se retrouve aux prises avec un certain Drift King, membre des yakuzas.

 Note de la production
Tourner un nouveau volet
Tourner un troisième volet à la sage Fast & Furious demandait de réactualiser certains éléments pour éviter la répétition. Ainsi Fast and Furious : Tokyo Drift permettait d'explorer de nouveaux horizons et également d'introduire un sport fascinant : le drifting, comme l'en témoigne Neal Moritz : "Nous n'aurions pas fait "Fast and Furious : Tokyo Drift" sans une trame solide et originale. Un jour, notre équipe en est venue à discuter d'un nouveau style de course, né à Tokyo, qu'on appelle le "drifting". Les films clandestins tournés durant ces courses m'ont captivé. (...) J'ai pensé que cela méritait un film. Le résultat final m'a comblé."

Le phénomène du "drifting" au Japon
Le Drifting, pratique dangereuse de la course automobile est un sport très réputé au Japon. Le réalisateur Justin Lin revient sur ce phénomène au pays du soleil levant : " Je ne connaissais pas intimement les rites du "drift" lorsque j'ai attaqué ce projet. J'ai découvert qu'il était l'invention de bandes de jeunes d'origine populaire, venants des régions montagneuses du Japon où les routes sont extrêmement sinueuses. Le sport consistait tout simplement à tenter de les descendre le plus vite possible. Plus tard, le phénomène s'est étendu aux rues de Tokyo. Visuellement, cela donne un spectacle fascinant."

Un film d'action réaliste
Si les scènes de cascades sont impressionnantes et spectaculaires, il fallait toutefois garder une ligne de conduite : le réalisme avant tout. Le producteur Neal Moritz revient sur cet élément clé : "Nous avons réuni la meilleure des équipes techniques. Les responsables des effets visuels sont les mêmes que sur les deux films précédents. Ils connaissent les règles du jeu : rester dans les limites du vraisemblable, ne pas faire accomplir aux voitures des exploits dont elles seraient incapables dans la réalité. L'équipe a fait un effort remarquable en ce sens."

Un tuning pointu
L'équipe du tournage a dû customiser elle-même les voitures afin qu'elles puissent atteindre les limites de leur capacité technique. Un tuning pointu a alors été employé sur les voitures du film. Une équipe de cinquante mécaniciens ont été présents sur les plateaux de tournage afin d'effectuer les éventuelles interventions et réparations nécesaires.

L'entraînement des acteurs
Au vu des nombreuses cascades du film, les acteurs ont dû s'imprégner de la culture drift et connaître les manoeuvres exactes pour pouvoir effectuer les commandes correctement. Le réalisateur Justin Lin a donc engagé un conseiller technique, fan du drifting pour qu'il donne des cours de suite aux acteurs. De la même façon, les acteurs ont reçu des cours de japonais et d'argot local afin de mieux intégrer la culture véhiculée par le film. L'acteur Lucas Black évoque ces séances d'entraînement "Lorsqu'ils m'ont montré la manoeuvre pour la première fois, c'était vraiment très impressionnant. J'étais emballé. Par la suite, j'ai découvert qu'il était plus confortable d'être au volant qu'à la proverbiale "place du mort" (...).

Le "casting" des voitures
Les voitures sont considérées comme des acteurs à part entière dans Fast and Furious : Tokyo Drift. Un casting de voitures a dû être organisé avec d'autant plus de sérieux qu'il fallait être certain du modèle employé afin d'effectuer les éventuels remplacements en cas de casse (en effet, pour les besoins du tournage, l'équipe a sacrifié un nombre considérable de voitures : plus de 25 ont été découpées, et environ 80 voitures ont été détruites). Ainsi sur 250 voitures présentées, quelques-unes furent retenues : la Mistubishi Evolution 9, la Nissan Fairlady 35OZ, la Mazda RX-7, la Mazda RX-8, la Mustang 69, la Dodge Viper 05 et enfin la Chevrolet Monte Carlo 71.

Un champion en tant que conseiller technique
Si les scènes de drifting sont si impressionnantes et réalistes dans le film, c'est parce que l'équipe du film a engagé le champion Keiichi Tsuchiya en tant que conseiller technique. Il a en effet été le précurseur du style en lançant la mode du drifting au Japon il y a près de quinze ans. Il a ensuite enchaîné victoires sur victoires et s'est même vu décerner la fameuse couronne Drift King, tant convoitée par les coureurs automobiles.