A l'Aube du 6ème jour
Réalisateur : Roger Spottiswoode

Genre : Fantastique

Date : 20 décembre 2000

Durée : 2 h 04

Origine : Américain

Distribution : Columbia Tristar Films

Titre original : The 6th Day

 

Résumé | Note production | Acteurs | Scénario | Producteur | Site Officiel | Récompenses | Lieux | Budget

Acteurs :

Arnold Schwarzenegger : Adam Gibson

Tony Goldwyn : Michael Drucker
Robert Duvall : Docteur Graham Weir
Michael Rapaport : Hank Morgan
Michael Rooker : Robert Marshall
Sarah Wynter : Talia Elsworth
Wendy Crewson : Natalie Gibson
Rodney Rowland : P. Wiley (sous le nom Rod Rowland)
Terry Crews : Vincent
Ken Pogue : Speaker Day
Colin Cunningham : Tripp
Wanda Cannon : Katherine Weir
Taylor Anne Reid : Clara Gibson
Jennifer Gareis : la petite amie virtuel de Hank
Don McManus : le vendeur de RePet
Steve Bacic : Johnny Phoenix
Christopher Lawford : le Lieutenant de Police
Mark Brandon : l'hologramme vendeur de RePet
Ellie Harvie : Rosie
Don S. Davis : Cardinal de la Jolla
Jennifer Sterling : l'avocat virtuel
Walter von Huene : Virtual Psychiatrist
Chris Cound : un snowboarder
Ben Bass : un garde du corps
Robert Clarke : les fanatiques #1
Michael Budman : les fanatiques #2
Warren Takeuchi : un journaliste
Claudine Grant : un journaliste
Alexandra Castillo : un journaliste
D. Neil Mark : un agent de sécurité
Colin Lawrence : un agent de sécurité
Mark Gibbon : un agent de sécurité
Brian Jensen : un agent de sécurité
Crawford James : un agent de sécurité
Peter Kent : l'Officier des frontières
Hiro Kanagawa : le médecin de l'équipe
Mi-Jung Lee : la présentatrice des infos
Gillian Barber : le docteur de Katherine
Gerard Plunkett : le technicien
Claire Riley : la journaliste du web
Andrew McIlroy : Scott Moore
Norma Jean Wick : la présentatrice #1
Paul Carson : le présentateur #2
Graham Andrews : le chauffeur de taxi
Benita Ha : un professeur
Andrea Libman : SimPal Cindy (voix)
Kwesi Ameyaw : un agent de sécurité
Anthony Harrison : un agent de sécurité
Ian Alexander Martin : l'opérateur Synchorder

Directeur Photo : Pierre Mignot

Musique :

Trevor Rabin
Michael Wandmacher : chansons

Mildred J. Hill : chanson 'Happy Birthday to You'
Patty S. Hill : chanson 'Happy Birthday to You'
John W. Bratton : chanson 'Teddy Bears Picnic'
Jimmy Kennedy : chanson 'Teddy Bears Picnic'

Chef décorateur :

James D. Bissell

John Willett

Costumes : Trish Keating

Montage :

Dominique Fortin

Michael Arcand

Kirk Moses

Mark Conte

Casting : Judith Holstra

Son :

Patrick Cyccone Jr:. mixeur post-synchro
Michael Keller : mixeur post-synchro
Scott Sanders : montage effets sonores
Kerry Ann Carmean : monteur
Dino Dimuro : montage effets sonores
Brent Brooks : édition musicale (musique temporaire)
Jeanette Surga : superviseur édition musicale
Wade Wilson : monteur son
David Husby : mixeur production
Steve Kempster : mixeur musique
Wylie Stateman : monteur doublage
Harry Cohen : montage effets sonores
Scott Martin Gershin : monteur
Eric Flickinger : enregistrement
Constance A. Kazmer : monteur dialogues
Alan Rankin : montage effets sonores
Tulio Torrinello : assistant ingénieur enregistrement
Richard A. Harrison : édition musicale
Tony Lamberti : superviseur montage
Lon Bender : superviseur montage
Lauren Stephens : monteur dialogues

Décors : Peter Lando

Maquillage :

Shauna Magrath : artiste maquillage seconde équipe
Crist Ballas : prosthèses additionnelles
Anna Fleiner : artiste maquillage
Peter Tothpal : concepteur coiffures
Geoff Redknap : artiste maquillage effets spéciaux
Jayne Dancose : artiste maquillage seconde équipe
Patricia Murray-Morgan : artiste maquillage
Mike Fields : artiste maquillage effets spéciaux
Melina Calogiros : styliste coiffure
Alec Gillis : artiste effets maquillages
Tom Woodruff Jr:. artiste effets maquillages
Sandra Wheatle : artiste maquillage: Toronto
Jeff Dawn : chef département maquillage
Charles Porlier : artiste maquillage
Leanne Rae Podavin : assistant artiste effets spéciaux maquillage
Angelina P. Cameron : styliste coiffure

Direction artistique :

Patrick Banister
Christopher Burian-Mohr
Doug Hardwick

Effets spéciaux :

Michael Walls : coordinateur
Lars Lenander : coordinateur
Carol Koch : sculpteur
Michael Lantieri : superviseur
Brian Tipton : assistant
Donald Elliott : chef d'équipe
Kurt Jackson : assistant
Todd Bilawchuk : premier assistant
Barry Hebein : fabriquant métal

Scénario :

Cormac Wibberley

Marianne Wibberley

Producteur :

Jon Davison

Mike Medavoy

Arnold Schwarzenegger

Production : Phoenix Pictures

Producteur exécutif :

David Coatsworth

Marianne Wibberley

Cornac Wibberley

Daniel Petrie Jr.

Producteur Associé : David Latham

Assistant réalisation : David Latham

M. James Arnett : réalisateur seconde équipe
Ella Kutschera : second assistant
David Klohn : second assistant
Greg Zenon : premier assistant seconde équipe
Michael Shandley : autre second assistant
Maria Quanfun : trainee assistant réalisateur
Kathy Houghton : second assistant seconde équipe
Albert M. Shapiro : premier assistant

Lieux de tournage :

Budget : 82 million de $

Site officiel : http://www.columbiatristar.fr/00/6eme_jour/

Récompenses :

| Note production | Acteurs | Scénario | Producteur | Site Officiel | Récompenses | Lieux | Budget

 Résumé :

Adam Gibson est un père de famille tranquille. Ancien héros de la Guerre de la Forêt Tropicale, il pilote à présent les hélipropulsés de la compagnie de charters qu’il dirige avec son ami Hank. Les prouesses génétiques qui ont révolutionné notre monde le dépassent et le laissent quelque peu perplexe. Eradiquer les maladies, résoudre la faim dans le monde et disposer d’organes pour toutes les demandes de greffes, c’est bien, mais cloner son chien disparu en adaptant son pelage aux couleurs des murs de son salon, c’est plus surprenant…Adam est assez loin de tout cela, jusqu’au soir où il rentre chez lui et découvre qu’il a été remplacé par son clone. Sans avoir eu le temps de réagir, il est pris en chasse par des tueurs. Il vient de basculer au cœur du plus effrayant des secrets… Michael Drucker, l’un des industriels de la biologie les plus riches de la planète, pratique dans ses laboratoires ce que la loi du 6ème jour interdit formellement. Son associé, le très réputé docteur Weir, supervise chaque jour les miracles qui lui rapportent tant… Pour protéger son empire, Drucker lance ses sbires sur les traces d’Adam. Ils doivent à tout prix le détruire avant qu’il ne puisse révéler leur machination…Commence alors pour Adam un terrifiant jeu de piste dans lequel il doit reconquérir son identité sans pour cela perdre la vie…

Note de la production

A L’AUBE DU 6ème JOUR est un thriller où la science l’emporte sur la fiction.
Mike Medavoy, le président de Phoenix Pictures, raconte : « J’ai tout de suite été intrigué par le scénario. J’aimais l’idée d’aborder un des enjeux majeurs de notre futur par le biais d’une aventure qui implique un individu comme vous et moi. Le clonage est une réalité.
Aucun de nous ne peut prévoir les implications qu’aura concrètement ce potentiel. Plonger un homme au cœur de ce fascinant contexte promettait d’être passionnant. Les enjeux sont immenses et concernent chacun de nous ; il s’agit de nos existences et de nos valeurs, de notre perception de la vie…»Jon Davison, le producteur, confie : « Il n’est pas tant question d’une science néfaste que d’une mauvaise utilisation des découvertes scientifiques. Le film explore ce qui pourrait arriver si cette technologie tombe entre de mauvaises mains… » Mike Medavoy a fait immédiatement appel à Roger Spottiswoode, avec qui il avait travaillé sur le thriller politique UNDER FIRE, pour réaliser le film. « Nous voulions quelqu’un qui ait la sensibilité et la chaleur humaine nécessaires pour travailler avec les acteurs tout en sachant adopter l’esprit stratégique d’un général sur un champ de bataille », observe Medavoy.Mike Medavoy s’est ensuite consacré au recrutement d’une équipe capable de créer un film avec de vastes décors, des poursuites et des cascades en voiture, et plus de 600 effets visuels… Il s’est tourné vers son ami, le producteur Jon Davison, à qui l’on doit notamment STARSHIP TROOPERS et ROBOCOP.BEAUCOUP DE SCIENCE, PEU DE FICTION…
Ce qui n’était encore que de la science-fiction il y a quelques années est devenu une réalité tangible. Le clonage est possible et les progrès scientifiques constants et de plus en plus rapides ouvrent chaque jour de nouvelles potentialités que nos esprits ont parfois du mal à appréhender…Roger Spottiswoode confie : « A l’origine, nous souhaitions situer notre histoire dans un futur moyen, à vingt ou trente ans, mais en discutant avec des experts, nous nous sommes aperçus que pour en arriver au niveau technologique décrit dans le film, cinq ou six années suffiraient. »Au moment où le film était en préproduction, les journaux, les magazines publiaient des articles sur le clonage, et beaucoup de données à ce sujet circulaient sur Internet. Plusieurs événements venaient corroborer le concept du scénario : l’université de l’Oregon a réussi à cloner un singe, Genetic Savings and Clone a engagé un projet de clonage d’un chien baptisé « Missyplicity » d’un montant de 2,3 millions de dollars, sans oublier celui de British Telecom, « The Soul Catcher », portant sur une puce capable d’enregistrer toute une vie, que l’on pourrait implanter dans la tête d’un nouveau-né à la naissance...
Les éléments du film impliquant l’introduction d’ADN et le Syncording - le procédé de transfert des pensées et souvenirs d’un humain ou d’un animal à son clone - se retrouvaient dans « Soul Catcher », tandis que le clonage du chien de la famille Gibson chez RePet était très semblable au projet « Missyplicity »… La technologie scientifique réelle ne se contentait pas de refléter les concepts du film, elle les surpassait… Roger Spottiswoode précise : « Nous avons choisi alors de développer un scénario d’action qui pose concrètement le problème du clonage, dans un futur très proche de nous. Ce n’est pas une leçon d’éthique, c’est l’aventure éprouvante d’un homme normal confronté à une technologie biologique capable de modifier notre histoire à tous. Avec le clonage, l’homme s’affranchit des règles de la nature. Nous avons voulu utiliser cette base fascinante pour créer une aventure… »Le public ne se pose pas de questions sur une avancée scientifique avant qu’elle n’ait engendré de catastrophe.
Avant, il essaie simplement d’en bénéficier… Dans le scénario, le clonage des humains a été interdit suite à une expérience ratée. La loi du 6ème jour a été promulguée en référence à la Bible où il est dit qu’au sixième jour Dieu créa l’homme… Quiconque transgresserait l’interdit de clonage humain serait lourdement condamné. Adam Gibson va se trouver mêlé malgré lui au secret de ceux qui ont désobéi. Il va plonger dans les coulisses de ces merveilles technologiques et de leurs effets pervers. Il va découvrir le risque que chacun court si ces fabuleux outils sont mal utilisés.C’est par un cas concret que le public va prendre conscience des grands problèmes que pose le clonage. Ce qui arrive au personnage d’Arnold Schwarzenegger pourrait arriver à n’importe qui.UNE REVOLUTION QUI CHANGE LA VIEArnold Schwarzenegger s’est préparé à son double rôle en menant des recherches poussées sur l’ingénierie génétique.
Il a rencontré certains des meilleurs spécialistes du clonage et des industriels ayant des idées d’avant-garde sur la façon d’exploiter les nouvelles technologies. L’acteur-producteur souligne : « Le souci majeur avec cette technologie est d’abord une question d’éthique. Le problème porte davantage sur la manipulation génétique que sur le clonage lui-même. C’est comparable à ce qui se passe avec Internet : la plupart des expériences de clonage sont conduites pour créer quelque chose de meilleur pour l’humanité, mais il existe toujours une possibilité de détournement, de mauvaise utilisation, de corruption. Je me souviens que lorsque nous avons commencé à parler de A L’AUBE DU 6ème JOUR, Dolly la brebis venait juste d’être clonée. Quand nous sommes passés au tournage, les résultats se multipliaient… Les choses allaient si vite que, sans l’avoir prévu, nous nous rapprochions chaque jour davantage de la réalité.