40 ans, toujours puceau
Réalisateur : Judd Apatow

Genre : Comédie

Date : 09 novembre 2005

Durée : 1 h 57

Origine : Américain

Distribution : UIP

Titre original : 40 year old virgin

Résumé | Note production | Acteurs | Scénario | Producteur | Site Officiel | Récompenses | Lieux | Budget

Acteurs :

Steve Carell : Andy Stitzer
Catherine Keener : Trish
Paul Rudd : David
Romany Malco : Jay
Seth Rogen : Cal
Elizabeth Banks : Beth
Loren Berman : la deuxième adolescente
Kat Dennings : Marla
Jenna Fischer : la première femme
Siena Goines : Alex
Marisa Guterman : la fille de 16 ans
Jonah Hill : Jonah
Nick Lashaway : le premier adolescent
Stephanie Nicole Lemelin : la deuxième femme
Jane Lynch : Paula
Shelley Malil : Haziz
Erica Vittina Phillips : Jill
Leslie Mann : Nicky
Chelsea Smith : Julia
Jamie Elle Mann : la journaliste incroyablement sexy
Suzy Nakamura : la deuxième Speed Dater
Barret Swatek : la fille de Cal
Gerry Bednob : Mooj
Jordan Masterson : Mark
Marika Dominczyk : Bernadette
Mindy Kaling : Amy
Mo Collins : Gina

Directeur Photo : Jack N. Green

Musique :

Wolfgang Amadeus : chanson
Lyle Workman
Mike Andrews

Décors : K.C. Fox

Chef décoration : Jackson De Govia

Costumes : Debra McGuire

Montage : Brent White

Effets Spéciaux : Richard Stutsman : directeur des effets spéciaux

Casting :

Allison Jones
Marla Garlin

Direction artistique : Tom Reta

Son :

Bill Burns : assistant monteur synchro
Larry Kemp : monteur
Chris Fogel : mixeur musique
Don White : mixeur enregistrement bruitage
John Clavin : ingénieur
Gregg Landaker : mixeur post-synchro
David MacMillan : mixeur production
Jonathan Karp : monteur musique
Tammy Fearing : superviseur synchro
Steve Maslow : superviseur mixeur

 

Scénario :
Judd Apatow
Steve Carell

Producteur :

Judd Apatow
Shauna Robertson
Clayton Townsend

Production :

Universal Pictures
Apatow Productions

Producteur executif :
Holly Bario
Steve Carell
Mary Parent
Jon Poll

Producteur associé : Andrew J. Cohen

Assistant réalisation :

Rusty Mahmood : second assistant
Peter Dress : autre second assistant
Michele Panelli-Venetis : premier assistant

Lieux de tournage :

Budget :

Site officiel : http://www.uipfrance.com/sites/40anstoujourspuceau/

Récompenses :

Festival du Film Américain de Deauville : 2005
Avant-premières

| Note production | Acteurs | Scénario | Producteur | Site Officiel | Récompenses | Lieux | Budget

 Résumé :

40 ans, Andy Stitzer a accompli pas mal de choses. Il a un emploi confortable (timbrant les factures pour un magasin d'électroménager), un bel appartement avec une collection de figurines et de bandes dessinées, de bons amis et une bonne allure. Il n'y a qu'une chose qu'il n'ait encore jamais faite et que la majorité des gens ont fait à son âge. Ils l'ont même fait beaucoup. Andy n'a jamais eu de rapports sexuels même par accident. Est-ce réellement un challenge ? Oui, pour ses amis qui décident de l'aider à régler ce problème. Rien n'y fait jusqu'à ce qu'il rencontre Trish, une mère célibataire de trois enfants...

 Note de la production
Premier scénario pour Steve Carell
L'idée principale du film est inspiré d'un sketch que Steve Carell avait créé avec sa troupe d'improvisation Second City. Il en a étoffé l'histoire faisant ainsi de 40 ans, toujours puceau son premier scénario.

Judd Apatow se jette à l'eau
Judd Apatow, l'un des créateurs de la série américaine "Freaks and Geeks", signe avec The 40 Year-Old Virgin son premier film en tant que réalisateur. Il a co-écrit le script avec l'interprète principal, Steve Carell, rencontré alors qu'il produisait Présentateur vedette : la légende de Ron Burgundy.

Références
Le réalisateur et scénariste Judd Apatow évoque les références dont il s'est inspiré : "J'adore les films pour adultes de la fin des années 70 et du début des années 80, comme Un vrai schnock !, avec Steve Martin , ou American College de John Landis. Ils n'étaient pas aussi égrillards qu'on l'a dit, mais ils allaient assez loin dans l'humour. J'ai cherché à retrouver cette liberté, tant dans les dialogues que dans les comportements. Cela donne au film une authenticité proche de la vie. En plus, c'était drôle à écrire."

La fièvre des comics
Dans 40 ans toujours puceau, Steve Carell est passionné de Comics et de tout l'univers qui tourne autour. La décoration de l'appartement de Steve Carell fut alors un travail de longue haleine pour Jackson De Govia, le chef décorateur. Il a fallu en effet réunir une vaste collection de comics, figurines et objets promotionnels. Pour cela, l'équipe de décorateurs arpenta les conventions, les boutiques de jouets et bien sûr les sites de ventes aux enchères à la recherche du moindre objet susceptible de renforcer la personnalité maniaque du personnage de Steve Carell.

Anecdotes croustillantes
Les premières répétitions ont permis aux comédiens d'échanger des confidences sur leurs propres expériences sexuelles. Certaines anecdotes ont depuis été reprises dans le scénario : " Ces témoignages ont donné encore plus de relief aux situations, explique la productrice Shauna Robertson. Ils ont permis d'étoffer le script en y incorporant des bouts d'histoires personnelles, parfois très embarrassantes. "

Steve Carell perd...ses poils
Dans une scène du film, le personnage d'Andy se fait épiler le torse. Par souci de crédibilité, Steve Carell a proposé au réalisateur de ne pas avoir recours à des subterfuges techniques : "Ca doit paraître réel. Ce ne sera pas aussi drôle avec un effet spécial. On doit voir que c'est vraiment entrain d'arriver". Pour s'assurer une prise juste, cinq caméras ont filmé la séquence qui fut pour l'acteur "une journée de torture (...) ma peau est devenu incroyablement rouge et on peut voir avec le zoom le sang apparaître à la surface".

Scènes coupées
Lors de la scène du speed-dating, les comédiens se sont laissés aller à d'audacieuses improvisations. Les scènes ont toutefois été coupées au montage destiné au cinéma...